Étienne Faugier, doctorant en cotutelle de thèse (Université Lumière Lyon 2 et Université Laval)

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Jusqu’à il n’y a pas si longtemps, le féru d’histoire, l’historien ou bien encore l’intellectuel devait aller chercher les informations qui l’intéressaient en allant dans les bibliothèques et en ouvrant des livres. L’accès à la connaissance nécessitait d’habiter en ville ou bien à une proximité relative de la ville – en supposant qu’elle accueille une bibliothèque – il fallait s’abonner annuellement à la bibliothèque municipale et/ou universitaire et aller régulièrement emprunter et rendre les livres désirés. Il existait d’autres canaux, plus diffus, moins omniprésents tels que les documentaires retraçant tel ou tel événement, les films documentaires (en France et au Québec, il y a les « Connaissances du Monde » et « Les grands Explorateurs »). Quelques radios consacraient une partie de leur créneau à parler d’histoire?; néanmoins, elles étaient loin d’égaler l’attrait et la renommée qu’a le livre – qu’il s’agisse d’un livre à caractère scientifique ou bien destiné au grand public.